Ever Worlds
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Trois mondes. Trois peuples. Trois passages. Mais seulement un univers à protéger...
 
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 Ambre => Gardienne

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2 participants
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Ambre

Ambre


Messages : 70
Date d'inscription : 11/05/2009

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MessageSujet: Ambre => Gardienne   Ambre => Gardienne Icon_minitimeMar 12 Mai - 4:11

Prénom :
Ambre

Nom :
L'Helia

Âge :
J'ai cessé de compter les années de ma vie depuis bien longtemps. Et, qu'est-ce qu'on pourrait dire de moi ? Prise dans le corps d'une bien jeune enfant, mon regard en dit long sur la vieillesse de mon âme.

Sexe :
Féminin

Monde d’origine :
Le monde du passé

Race :
Hybride. Mon père était un elfe. Et ma mère Heliade, les nymphes des peupliers..

Histoire :
Mon conte en fait, débute à l'aube des temps. Au commencement de tout, quand les puissants, encore jeune, avaient tout juste terminer de bâtir les mondes, le monde. C'était du temps où les Hommes et les Elfes n'étaient qu'un, du temps où les fées n'étaient que de vulgaires points scintillant, disparaissant dans l'oubli de la nuit, du temps où les Orques et les nains n'étaient même pas une poussière de pensée dans l'imagination des Puissants. Mon histoire commence bien avant que je fus née. Elle prend forme en fait, alors que ma mère prenait vie elle-même, je ne saurais dire quand dans ce passé si lointain.

Les mondes bien sûr, sans que je ne puisse, comme personne d'autre, savoir comme ce put arriver, se séparèrent, ou du moins les races qui les peuplaient s'entre-changèrent jusqu'à ce que le répertoire connu d'aujourd'hui fut. Et cela, comme beaucoup d'autre chose, débuta avec la naissance de feue ma mère l'Héliade.

Les gens disent croire aux histoires inventé par des défunts dont jamais ils n'auront conscience de l'existence passé. À ces légendes créées par les peuples pour simplement mieux vénérer les Puissants je ne crois pas. Ce ne sont que des mythes inventées pour plier les mystères des natures à la force des gens. Il n'y en a qu'une que je veux écouter, et c'est parce qu'à mon savoir, c'est la seule à être véritable. Non pas que je n'ai foi en Puissant, je n'ai simplement pas foi.

Même si les mythes suivent de quelques part la parole vraie d'un aïeul, d'un défunt, les histoires souvent sont, comme les contes aux buts impréçis et délicat d'abordage, l'invention des plus pures aux plus fous esprits, développant entre eux des légendes comme celle-ci, sans que personne ne puisse savoir si cela est la vérité ou non, les interessé à part. C'est le mystère alors, qui n'a choix que de poursuivre le temps, de bouches jusqu'à ouïe, écoutant là, s'arrêtant ici, et ça et là embaumant les mytologies des plus désirable fantasies camouflant la vérité que peut-être personne ne saura plus des temps infinis qui suivront la mort définitive des principales acteurs de ces réçits.

Mais enfin, voici que selon les dires des aèdes d'un temps oublié il y aurait eu un jour acte de chaire par le Puissant. Viol ou amour, personne ne peut dire plus que quiconque le savoir, excluant par le fait, le Puissant qui jamais ne parlera. Engendrée alors, par on ne sait qui, un jour bien éloigné de la date présente, ma mère vit le jour comme un enfant aurait pu croire, sortant sa tête bambine d'une pousse verte prenant forme sur la souche d'un arbre défait.


Car à l'époque de sa naissance, comme Hommes et Elfes, les arbres n'était d'appartenance à aucune espèce. Ils étaient arbres et ça finissait là comme on pouvait mettre fin aux questions d'un gestes de la main. Seulement, ma mère, première nymphe, mis au monde elle-même de nombreuse descendantes. D'elfe ou d'elle-même, comme on ose le croire face à de choquants faits et preuves, ces enfants virent le jour comme elle, dans un bel arbre, dans une plante, un nuage ou une fontaine, comme il se devait qu'elles naissent.

Je fus sa dernière enfant. Sa véritable fille, née comme un bébé d'homme, et pas comme il aurait été de convenance dans le monde naturel et fantastique dans lequel L'Heliade baignait. Ce fut donc ma naissance déroutante et mon corps puissant qui mit un terme définitif aux jours de ma mère. Courbée sur moi, son enfant précieux qu'elle ne verrait plus, et ce sans problème, elle pleura ses dernières larmes au-dessus de mon corps. Quelque gouttes d'ambre, donc, glissèrent sur mon bras lissant ma main, s'imprégnant de ma peau, s'imprimant dessus en une marque ineffaçable.

À présent, c'est un peuplier qui vie doucement, au grès des saisons, à l'endroit où, jadis, ma mère me mit au monde. Je ne me suis d'ailleurs jamais attendris à lui rendre visite, pour pencher quelques mots à ses feuilles, sans même la certitude qu'ils ne soient pas inutiles. J'ai préféré en fait, durant ces longues années de garde, apprendre à repousser les mauvaises forces peuplant les mondes extérieurs, à entendre, à sentir plutôt, les présences entrant dans cet entre-monde qui aurait du être ma demeure permanente.

Mais je me suis plutôt réquisitionné un vieille arbre, un peuplier, dans un coin éloigné du monde, dans la forêt, et je passe le temps à écouter les dire de mes lointaines cousines les nymphes, invisibles ou pas, sans jamais ne m'évader ailleurs. Je suis là, immobile à tout mouvement, inchangée à toutes paroles, on m'oublie dans cet arbre et je ne reviens que rarement.

Descriptions physique :
Non, je ne suis pas petite et frêle. Non, je ne suis pas plus délicate que douce. Tout ça n'est qu'un beau manteau de porcelaine qu'on m'a fait revêtir dès ma lointaine naissance. Mon corps, bien que mince et loin d'être de grande taille, est fort et vigoureux. On ne me confondrait pas avec n'importe qu'elle fillette. Oui parce que bien sûr ma démarche et mes paroles sont celles d'une femme de mon âge avancé, mais aussi parce que mon regard noir et doux pose dans celui des autres, des pupilles sages, empreinte du temps qu'elles ont vu défiler sous elle.

Mes cheveux foncé s'agence avec la nuit, alors que mon teint pâle ressemble à la Lune. Le Soleil se reflète, comme l'eau, dans mes yeux de jais. On dit que je brille dans la nature à qui j'appartiens, je crois plutôt que l'aura de ma marque, apposée simplement sur ma main, longeant avec finesse mes doigts graciles, qui fait effet aux sentiments des autres
.

Descriptions du signe distinctif :
Elle est difficile à cerner. Délicatement, sur mon poignet droit, elle monte vers ma main en une spirale tourbillonant autour de mon bras en une farandole de petite feuilles de bronze. Fonçant doucement au niveau du dos de ma main, elle explose en une centaine de filaments noircis qui remontent jusqu'à mes doigts en se séparant encore et encore, certains atteignant les premières phalanges s'enroulant autour de mes doigts comme autour de mon poignet délicat, encadrant mes ongles ronds d'une couronne d'or ternis, les autres se finissant çà et là, partout sur le dos et même la paume, en une pointe fine roulant sur elle-même jusqu'à se perdre dans ma peau blafarde.

On dit qu'elle fait songer à un arbre de jais et d'or qui aurait prit racines dans la chaire et dans la peau de ma main, celle que j'utilise le plus souvent, comme un arbre minuscule aurait pousser vers le bas, des surfaces aux profondeurs, sans que plus qu'une ribambelle de feuilles ternies ne puisse y pousser. Mais elle ne représente pas un arbre désespéré aux feuilles mortes et à la mort longue qui cherche la source inexistante de mon corps en étalant ses racines partout sans trouver rien. Il suffirait de regarder ce signe de l'autre côté. Et là, on pourrait saisir toute l'ampleur de son existence immobile, invisible.


Description psychologique :
Il faut se détromper dès le premier regard. Je ne suis pas une belle enfant silencieuse et douce comme la caresse d'un vent sur mon visage d'ivoire. Je suis plus forte que ce qu'on pourrait m'imaginer capable de l'être. Mon caractère est dur à comprendre, à saisir, mais une fois entendu on voit, limpide, que ma douceur et mon mutisme son plus une obligation qu'un attrait. Assise à vous regarder de mes yeux sereinement fous, vous ne me verrez jamais essayer de vous aider à y voir plus claire. Il faut me confondre à un arbre. Et là, vous saisirez toute l'ampleur de mon existence immobile, invisible.

Rapports avec les autres gardiens :
Je les connais dès qu'ils existent. Pourtant qu'un seul encore m'a rejoint. Je le sais existant et c'est tout ce dont j'ai de besoin pour avoir l'esprit en paix qu'en a l'avenir de ce monde étrange d'où il vient. Je ne prend aucun plaisir à connaître plus en profondeur d'autre personne que ma mère la nature, et moi-même.

Autre :
[Okay]


Dernière édition par Ambre le Jeu 14 Mai - 2:29, édité 2 fois
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Messages : 43
Date d'inscription : 10/05/2009

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MessageSujet: Re: Ambre => Gardienne   Ambre => Gardienne Icon_minitimeMer 13 Mai - 4:07

Ambre tu es acceptée.
Bienvenue
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